Zazon, elle a un truc ; je ne sais pas trop quoi, mais elle a un truc. C’est simple, dès qu’elle commence vous vous dîtes : « nonnnnn ». Et pourtant, à l’évidence, si. Suffit de la regarder pour comprendre. Elle a ce petit quelque chose que beaucoup n’ont pas. Un presque rien qui fait tout. Une particularité toute particulière. En un mot comme en cent, Zazon, eh bien, elle a un truc.
Et, comme souvent, c’est les hommes qui en parlent le mieux.
C’est en tout cas, ce qu’avance l’University College de Londres dans sa dernière publication scientifique. Une femme au foyer, credo d’une certaine droite tradi (voire d’une certaine gauche), a plus de chance d’avoir des problèmes de poids, de mauvaises relations avec son conjoint, ou plus généralement des problèmes de santé. Même certaines femmes arrivent à tirer leur épingle du jeu, en restant à la maison tout en « s’amusant » au milliondollarsite. 😉 (via Physorg)
Une initiative insolite que l’on doit à la danoise Louise van Rooij, qui, pour attirer l’attention de tous sur les risques du cancer du sein chez la femme, a mis sur pieds ce projet fou et salutaire : attacher bout à bout 111 kilomètres de soutiens-gorges et ainsi battre le record du monde détenu jusque-là par leurs amies singapouriennes (qui ont des poitrines plus petites ce qui explique cela – dixit l’organisatrice). Qu’on se le dise : les soutiens-gorges de la révolte sont là ! Une façon comme une autre de rappeler aux femmes qu’il faut régulièrement se faire un check-up de la poitrine. Et croyez-moi, vous trouverez toujours quelqu’un pour y vous aider. 😉 Et puis tant que j’y suis autant compléter la campagne de sensibilisation avec ceci (tout aussi souhaitable).
(via Physorg)
Noëlle a donné naissance en Afghanistan ou en Californie. Elle a formé de nombreuses sages-femmes à travers le monde sans jamais se plaindre, assistant les humains sans discrimination à un moment décisif de leur vie : la naissance. Car Noëlle est une robote (à 20 000 $), moins sexy que celle-ci, mais tout aussi dévouée à la formation de ceux qui ont la charge de faire naître.
Le robot s’immisce de plus en plus dans notre intimité. Un constat qui m’avait donné l’idée saugrenue, j’en conviens, de faire un (faux) test pour le magazine TOC pour lequel je chronique. « Êtes-vous robophile ? » était le thème du questionnaire que je ne résiste pas à vous reproduire ici. À vous de voir si vous êtes Robolover, Robofever, Robo-friendly, RoboManiak, Robofage, Ro-bobo, Robo-nobo…
Et puisque j’en suis là, que je n’ai pas peur de passer pour un fou, et que l’autodérision est un sport de haut niveau, je me risque à vous montrer cette petite vidéo faite à la maison : ode aux bot lovers. The love bot ?
ROBOLOVER 2
Après la mode des sushis servis sur femme nue au Japon, voilà qu’Ella Baché nous invite à franchir une étape supplémentaire : déguster des femmes. « Skin good enough to eat » dit le slogan. Une promotion du cannibalisme-chic ? du SM culinaire ? On ne sait pas trop. (via Boing-Boing)
