Le 3 mai dernier, le Ministère des affaires étrangères organisait une rencontre à l’occasion de la journée de la liberté de la presse, sur la liberté d’expression et d’opinion sur le net. Une trentaine de participants étaient présents autour du Ministre (quelques blogueurs, des représentants de Google ou Dailymotion, RSF, et d’autres institutionnels).
Après la rencontre, DiploTV a interviewé quelques participants. À l’image, Pierre Haski, Caroline Fourest et moi-même (furtivement).
Une petite démo pour le WE de Layar.
Cette application gratuite pour nos smartphones proposent des jeux de calques en réalité augmentée, présentant différents types de contenus.
J’y vois surtout une méthode géniale de visualisation de données « environnementales » (comprendre autour de soi).
Je croyais avoir bien dit tout le mal que je pensais du facho Raoul Follereau. Je pensais avoir montré assez clairement l’antisémitisme du personnage. La Fondation qui porte son nom cache ce passé brun. Ce qu’on comprend parfaitement quand on sait que « André Récipon, choisi par Raoul Follereau pour diriger les Fondations Raoul Follereau à partir de 1968 est le père de l’actuel président, Michel Récipon » cf. ce comm.
Bref. Quelle ne fut pas ma surprise en ouvrant mon courrier ce matin…
J’ai donc décidé d’appeler la Fondation pour qu’on me retire du listing et exprimer ma surprise que le site de la Fondation ne mentionne pas le passé antisémite de Follereau.
Je tombe sur un responsable (je tairai son nom et son titre) qui avant de me raccrocher au nez (super le service client), considère que Follereau et d’autres ont tous leur part d’ombre, que ses opinions ne lui posent pas de problème et que si je ne suis pas content de recevoir leur courrier, c’est à moi de contacter leur sous-traitant. On croit rêver.
Je ne suis pas mécontent d’avoir eu le réflexe d’enregistrer l’échange téléphonique (merci skype+audiohijack).
