Les Maîtres du flux

Depuis un peu plus d’un an, je m’arrache les cheveux à essayer de bien orchestrer la diffusion de mes infos dans mes différents réseaux sociaux. Parce que oui, on en a jamais un seul – de réseau social – mais quasiment autant que de logiciels sociaux qu’on utilise. Un compte sur Flickr ? sur Youtube ? sur Facebook ? Twitter ? brightkite ? linkedin ? etc. À chacun des outils, vient s’agréger un réseau social qui ne ressemble jamais tout à fait à un autre.

Mais avant d’entrer dans le vif, quelques petites précisions.
Lorsqu’on veut communiquer à travers les réseaux sociaux, il y a 3 étapes de base.
1. La recherche de l’info pertinente. Là, c’est chacun sa sauce.
2. La formulation. Tout un art, surtout lorsqu’on est limité à 140 signes dans le cas de Twitter.
3. La diffusion. Là, autant vous dire que c’est le joyeux bordel.

D’abord et avant tout parce que chaque outil social vous propose de communiquer à l’intérieur de ses frontières, et pas au-delà (sauf exception) – normal puisque vous lui rapportez du fric. Il veut vous garder pour lui. L’interopérabilité entre plateformes sociales, ça reste donc encore un doux rêve.

Ce constat fait, on a deux options. Soit recopier à la main, son message original dans chacun des outils sociaux qu’on possède – l’horreur, soit recourir à un logiciel qui gère ces différents outils. Moi, j’appelle ça un meta-outil-social. Il en existe quelques-uns, tous imparfaits. Je pense à ping.fm, hellotxt.com, posterous.com ou à nos Seemic/Tweetdeck qui couplent Twitter et Facebook. Tous ces meta-outils tendent à une chose : vous permettent de formuler un seul message qui se diffuse dans vos réseaux, automatiquement.

C’est là que les choses deviennent intéressantes.

Lorsqu’on veut faire circuler une info (la transformer en flux), on doit estimer si elle doit être diffusée sur telle ou telle plate-forme sociale.

Avec la multiplication des réseaux sociaux, les socionautes (?) sont contraints de réfléchir à une stratégie de diffusion pour les flux d’info qu’ils génèrent.
Ils doivent apprendre à les maitriser. À en devenir maîtres.

Et c’est pas de la tarte.

Parce qu’aujourd’hui, tout ça reste très artisanal et chacun tâtonne encore en mélangeant mises à jour manuelles et meta-outils-sociaux imparfaits.

Et toi qui me lis, où en es-tu de ta maîtrise du flux ? 🙂

[insolite] Mesrine en cavale devant notre maison familiale de Louviers ?

Dans son livre autobiographie, Instinct de Mort, Jacques Mesrine mentionne un passage devant la maison de mon grand-père PMF à Louviers. Heureusement qu’il ne s’y est pas arrêté. 😉
Thanx parents for the info. 

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Des photographies d'Alain Dister dans nos archives familiales.

Je poursuis mon immersion dans nos archives familiales à Bordeaux et je découvre que le photographe Alain Dister, qui nous a quittés récemment, était non seulement un ami de mes parents, mais qu’il les avait aussi pris en photo.
Ils s’étaient rencontrés aux États-Unis peu avant 1968 et passèrent un moment ensemble à New York.
Mon père et ma mère sont à droite. Photographie d’Alain Dister, juin 1968.

Il accompagna également mes parents à Berkeley en 1969 où, me dit ma mère, je fus conçu (!?). 
Ils se retrouvèrent à Paris (mes parents le logèrent un temps rue Galande) et à Bordeaux où Alain Dister prit cette photographie de ma mère et de moi-même nourrisson (1970).

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Recherche infos sur un mystérieux sarcophage dans mon jardin familial

Depuis ma tendre jeunesse, je côtoie cet étrange sarcophage en plein milieu de notre jardin familial près de Bordeaux.
Je n’ai jamais su d’où il provenait, ni de quand il datait. Mes parents pensent qu’il pourrait avoir un lien avec une étape de la route du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle pratiqué par des pèlerins ou des croisés entre le 11e et le 14e siècle – non loin du prieuré de Cayac pour les connoisseurs.
Si vous connaissez quelqu’un qui pourrait m’apporter des éclaircissements, ça m’intéresse. N’hésitez pas à faire circuler.
Cela dit, j’avoue que ça m’amuse beaucoup de faire appel au web et à mon réseau social pour identifier un objet plusieurs fois centenaires.
Le hi-tek au service du lo-tek en quelque sorte.

Quelques captures sous différents angles et la position géographique de l’objet.

Géolocalisation du sarcophage. Sud-Ouest, Sud de Bordeaux, localité Gradignan.

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