Du micro au macro. Voilà ce que je retiens de cette affaire. Tout a commencé avec une pub de Pepsico que voici [trouvée via ce tweet]:
Une utilisatrice de Twitter, Chritine Lu, s’est fendue d’un tweet très critique à l’encontre de la firme et de la pub, au motif que sa soeur s’était suicidée et que cette icono la heurtait. Le résultat ne s’est pas fait attendre, le responsable de la communication de Pepsico s’est excusé en lui assurant que la pub serait retirée.
Je me demande si ce n’est pas la première fois qu’une multinationale plie devant un individu (une consommatrice ?) par l’entremise de Twitter.
Si je comprends parfaitement la réaction de la demoiselle, je me demande malgré tout jusqu’où ces cas d’auto-censures peuvent aller. Ne risque-t-on pas de tomber dans un discours aseptisé si tous les émetteurs commencent à craindre d’être interpellés publiquement sur le support web 2 ?
Va-t-on voir émerger un twittement correct ?