Ils seront moins jugés sur leur projet que sur l’imaginaire qu’il stimule, moins sur leur programme que sur leur personnalité… Dixit Gérard Courtois/Le Monde daté 3 mai.
Et c’est bien dommage. Peut-être reviendra-t-on un jour sur les dérives de la personnalisation du pouvoir que notre système présidentiel actuel attise.