J’ai toujours eu un faible pour les géopolitologues. J’adore la façon qu’ils ont de mettre en perspective les faits d’actu. Je pense bien sûr à Jean Christophe Victor du « Dessous des cartes », ou à Bernard Guetta, dont j’écoute les chroniques avec plaisir sur France-Cu, et qui répond incidemment à la question du billet :
La différence avec 1929 est que les banquiers ne se défenestrent plus. Stock-options et salaires obscènes, ils se sont trop enrichis pour avoir le moindre doute sur leur excellence… [source]
Et puis à quoi bon se défenestrer si on est équipé d’un parachute doré ?