C’était il y a quelques jours sur mon compte facebook. Mon idée était simple, commencer une note sans lettre « e » comme Georges Perec dans son ouvrage « La disparition » et inviter ceux qui me suivent à faire pareil dans leur commentaire.
Une expérience oulipienne pour ceux qui ne savent pas trop ce que c’est (d’ailleurs qui sait vraiment ?) qui revient à s’imposer une contrainte absurde dans un processus de création quel qu’il soit. Comme ici.
Le dispositif : critiquer Sarkozy sans utiliser la lettre « e ».
Et voilà ce que ça donne. Merci aux rares participants !
Si vous me demandez à quoi ça sert tout ça c’est que vous n’avez pas l’esprit Oulipo. ;p