Le parti de Chavez considère les jeux vidéos comme « la conséquence du capitalisme sauvage » et envisage l’interdiction de ceux qu’il considère comme « violents » autant dire contre-révolutionnaires.
Quelques jours auparavant, el presidente faisait la promotion du Yo-Yo et suggérait que la Nintendo poussait « à l’égoisme, à l’individualisme et à la violence ».