La question de la protection des oeuvres se joue donc ailleurs, dans la nécessité de protéger le caractère personnel des messages : l’oeuvre d’art a cela de commun avec le témoignage sur Twitter qu’elle exprime le point de vue sur le monde d’une individualité originale. […] Ainsi il en va de même pour l’étudiant révolté des rues de Téhéran que pour l’artiste qui enregistre sa chanson à Paris : l’enjeu est de s’assurer que la vaste diffusion de son message n’étouffe jamais le lien qui l’unit à chacun de ses destinataires.
Extrait de « Internet et son potentiel démocratique », par Franck Louvrier
via lemonde.fr
S’il y a un rapport entre Hadopi et l’Iran, c’est plutôt le flicage des IP…