J’ai rencontré une exilée birmane il y a quelques semaines. C’était avant le cyclone Nargis. J’ai repris contacte avec elle après la catastrophe pour savoir où elle en était. Elle a accepté que je l’enregistre sous couvert d’anonymat. Je l’en remercie.
Son message est simple, les militaires détournent l’aide internationale, il faut donc que le personnel humanitaire étranger puisse accompagner la distribution. Au plus vite.
Extrait audio capturé via skype.
Audio.