La biblitothèque d'Alexandrie ne brûlera pas deux fois

En mars 2004, j’avais commis un papier dans le défunt mag (et néanmoins très hype) TOC sur le projet monumental d’archive.org :

… Cette superbe initiative, qui remonte aux débuts du Net, revient à une association non-lucrative basée à San Francisco, l’Internet Archive. Son but : répertorier et dupliquer tout document libre de droits. Données sonores, photos et surtout vidéos. Soit 100 térabytes (100 000 gigabytes) d’espace-mémoire ou prés de 5000 km d’archives linéaires.
Le plus grand centre d’archives au monde, et en libre accés ! Le succès de ce projet pharaonik repose sur une formule simple : tout le monde peut apporter ses documents ou sa pierre à l’édifice commun.

… Et c’est pas tout ! Pilotez la Wayback Machine et accédez aux trous noirs du Net. Comme pour tout, les pages Internet disparaissent. Mais quelqu’un a-t-il jamais pensé à les garder en mémoire kelke part ? Les millions de pages personnelles disparues ne faisaient-elles pas parties d’un patrimoine vivant ? WaybackMachine répond à ces 2 questions. Tous les soixante jours depuis 1996, Wayback répertorie presk tous les sites actifs et en fait copie. C’est, au final, 30 milliards de pages accessibles aujourd’hui dans un moteur de recherche. Titanesk et salutaire. La bibliotek d’Alexandrie ne brulera pas 2 fois.

L’occasion pour moi de vous montrer à quoi ressemblait mon site perso en 1998. Que de souvenirs (mon dieu la photo, mdr)… j’étais alors connecté au net via un tout nouveau modem téléphonique 28.8 (après un laborieux 14.4) et hébergé par imaginet.fr qui n’existe plus…

Et vous votre premier site/blog, c’était quand ?

[Tant que je suis dans les souvenirs et for the records, voilà mon premier billet de blogueur datant janvier 2004 – histoire de dire que je blogue depuis bientôt quatre ans. 😉 ]

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