Après des propos frontistes dans Second Life, un autre monde persistant, World of Warcraft (qui compte 8 millions de joueurs), est victime de dérapages verbaux.
Le symptôme d’une parole xénophobe qui se libère dans le virtuel ? Pas rassurant quand on sait que des très jeunes peuvent aussi lire cette prose. Le phénomène est sûrement marginal, mais soulève des questions sérieuses. Un point positif : la réaction de nombreux joueurs.
C’était donc hier soir, assez tard, dans l’extension Burning Crusade de WoW qui vient de sortir pour ceux qui connaissent.
Verbatim :
… je sui un NAZI je cherche juif a bruler [Le joueur du nom de « Virusx » ]
bande d’arab et de juif de merde [Le joueur du nom de « Virusx » ]